Depuis la décision de report de la transhumance, les bœufs vendus pour la consommation proviennent essentiellement des élevages locaux. A cause de la diminution de l’offre, les spéculations sur les prix vont bon train.
La transhumance est bien gérée pour éviter les conflits entre les autochtones et les éleveurs peulhs ; un plan de gestion est mis en œuvre à cet effet.
Situé dans la campagne agricole de Kolokopé, à une dizaine de Kilomètres de la ville d’Anié, le Centre de recherche agronomique des savanes humides (CRASH) constitue un avant-poste de la production d’espèces améliorées d’ovins et caprins.
Des travaux sont en cours de réalisation pour la mise en place d’un couloir de transhumance dans la région des Plateaux. L’objectif est d’offrir un passage au bétail et ainsi réduire les conflits entre transhumants et producteurs.
Diplômé du CIDAP, il achète de jeunes taureaux âgés d’environ 2 ans qu’il entraîne aux travaux agricoles ou engraisse pendant une période variant de 4 à 6 mois avant de revendre.
Les producteurs craignent de perdre leurs lagomorphes domestiques du fait de la propagation de la maladie virale (VHD) dont le virus est très offensif.
La peste porcine qui s’est déclarée il y a quelques mois dans un élevage du Sud-Togo, a atteint la région des Savanes. Un jeune entrepreneur ayant perdu tous ses porcs, envisage recommencer à zéro.
Les animaux élevés appartiennent à toute la famille, il s’agit d’un élevage traditionnel. Cependant, l’agriculteur veut faire de l’élevage son activité principale en installant une unité d’élevage individuelle, moderne et surtout faire une production durable.
En 2015, à la fin de sa formation universitaire, Sodjina décide de valoriser l’eau et la terre ; pour lui, ces deux éléments constituent une importante source de richesses à exploiter.
Il est porté à la connaissance des jeunes éleveurs de porcs que cette maladie a été détectée à nouveau dans un élevage porcin situé à Tsévié Dalavémondji dans la Préfecture de Zio.
